23 October 2006

Une vérité qui dérange (An inconvenient truth)

Voilà, j'en suis sortie il y a quelques heures : le documentaire de Davis Guggenhein (et non de Al Gore, il y a bien quelqu'un derrière la caméra !) est fidèle au porte parole qu'il suit, vulgarisateur et pédagogique, pas pro-américain - pour une fois, et pour cause - mine de rien, ça sert à quelque chose de perdre une élection - un job comme un autre ! - on gagne en discernement et même parfois, en engagement
A part ça, Al Gore a grossi là où Clinton a maigri (c'est vrai qu'il a échappé au pire); et même si l'on a un penchant républicain (libéral), on ne peut pas s'empêcher de se dire qu'il aurait tout de même fait un meilleur président que Bush Junior...
Pour ma part, je ne mets plus mes appareils électroniques en veille, je n'ai plus de voiture - mais j'ai un scooter et il paraît que ça pollue + qu'une bagnole (mais là, je ne suis pas prête à changer, à moins qu'il y en ait avec des biocarburants ?) - je vais penser à changer mes ampoules...
Enfin, n'oubliez jamais, un film commence vraiment au générique de début et se termine vraiment au générique de fin : c'est bien sûr valable pour celui-ci !
Et si comme moi, vous aimez le cinéma, le cinéma indépendant, d'auteur, qui donne sa chance et promeut les oeuvres personnelles, originales, créatives, qu'elles viennent de NY, Helsinki, Hong Kong, Tbilissi ou d'ailleurs, allez doublement soutenir ce cinéma, en allant dans les réseaux et salles indépendants, là où l'on "crie" - pour survivre aux grands circuits - son amour du 7è art, par une programmation audacieuse et engagée.
Dans le 8è à Paris, allez au Balzac !
Dans le 6è, aux 3 Luxembourg, au Racine, à l'Arlequin, au Saint Germain des Près etc..., on y voit les films "différemment"

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