1. Plateforme – Le web devient la plateforme sur laquelle on peut “presque” tout faire: courriels, partage de documents, transactions commerciales, conversations téléphoniques, etc.
2. Recevoir/publier/modifier – La plateforme permet les interactions. Quand l’information est trouvée ou modifiée, la conversation commence. Les utilisateurs contribuent en apposant leurs commentaires en “montant” leur propre contenu sur blogs et wikis. Ils peuvent même modifier la plateforme en question.
3. Broadband – Le nombre de ceux qui ont des “gros tuyaux” toujours connectés et par lesquels passent textes, images, musique et vidéos est en augmentation rapide.
4. Contributions – Le haut-débit facilite l’utilisation de la capacité “écrire/lire/programmer” de la plateforme. C’est plus simple à faire et plus de gens sont disposés à partager ce qu’ils ont avec d’autres.
5. Effets de réseaux – Les contributions s’ajoutent au point de créer un ensemble qui est plus grand que la somme de ses parties. Sociétés et technologies “tirent parti du contenu généré par les usagers” et développent des opportunités commerciales. La nature du savoir change et laisse entrevoir la possibilité de “tirer parti de l’intelligence collective”.
Les éléments technologiques vraiment nouveaux sont peu nombreux. Les services originaux naissent souvent du mélange de technologies et/ou de sources d’informations différentes, les mashups. Hétérogénéité et interopérabilité deviennent des notions dominantes… aussi bien dans l’univers des TIC que dans celui des briques et du ciment.
J'ai également trouvé son illustration de l'architecture de participation et du commerce du Web 2.0 que voici
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